Un nouveau référentiel voit le jour qui intègre l’ensemble des éléments de prévention décrits dans le protocole établi conjointement par le ministère chargé de l’Industrie et du Commerce et le ministère chargé du Travail pour la gestion du risque de contamination au Covid-19 dans les lieux de travail.
L’IMANOR a conçu ce référentiel sous forme d’une démarche pratique basée sur les principes de prévention, de maîtrise, de cohérence, d’amélioration et de pertinence des mesures proposées pour s’y conformer. Les dispositions du référentiel couvrent notamment l’engagement de la direction, l’identification des risques sanitaires, les mesures de leur maîtrise, la communication et la sensibilisation, la prévention et la maîtrise des situations d’urgence sanitaire et le processus d’amélioration, lit-on dans un communiqué de l’Institut.
Le référentiel renferme également des bonnes pratiques sanitaires et des lignes directrices, facilitant la mise en œuvre des mesures opérationnelles requises pour protéger et rassurer le personnel, les partenaires, les clients, les sous-traitants, les fournisseurs de l’entreprise.
Le processus d’évaluation de la conformité associé au référentiel présente suffisamment de souplesse pour une adaptation aux organismes de différentes catégories. Une évaluation concluante sur site par rapport à ce référentiel, permettrait d’attribuer un certificat donnant au bénéficiaire le droit d’usage d’un label baptisé « TAHSSINE ».
Malgré le fait que le référentiel est créé dans le contexte du Covid-19, il est construit selon une logique de durabilité en fournissant une démarche de maîtrise des risques sanitaires adaptée à d’autres contextes sanitaires similaires, souligne la même source.
L’IMANOR a conçu ce référentiel sous forme d’une démarche pratique basée sur les principes de prévention, de maîtrise, de cohérence, d’amélioration et de pertinence des mesures proposées pour s’y conformer. Les dispositions du référentiel couvrent notamment l’engagement de la direction, l’identification des risques sanitaires, les mesures de leur maîtrise, la communication et la sensibilisation, la prévention et la maîtrise des situations d’urgence sanitaire et le processus d’amélioration, lit-on dans un communiqué de l’Institut.
Le référentiel renferme également des bonnes pratiques sanitaires et des lignes directrices, facilitant la mise en œuvre des mesures opérationnelles requises pour protéger et rassurer le personnel, les partenaires, les clients, les sous-traitants, les fournisseurs de l’entreprise.
Le processus d’évaluation de la conformité associé au référentiel présente suffisamment de souplesse pour une adaptation aux organismes de différentes catégories. Une évaluation concluante sur site par rapport à ce référentiel, permettrait d’attribuer un certificat donnant au bénéficiaire le droit d’usage d’un label baptisé « TAHSSINE ».
Malgré le fait que le référentiel est créé dans le contexte du Covid-19, il est construit selon une logique de durabilité en fournissant une démarche de maîtrise des risques sanitaires adaptée à d’autres contextes sanitaires similaires, souligne la même source.